En 2019, au cours de mon exploration de ce champs (suite à un choc émotionnel, recherche de solutions), celui de l’aromathérapie énergétique, j’ai acquis ou relu une dizaine d’ouvrages traitant de près ou de loin de la question: olfactothérapie,  aromathérapie énergétique, chakras et huiles essentielles, huiles sacrées, guérison vibratoire ou quantique… bref chacun a son terme de prédilection.

Une vraie cacophonie. Jusqu’à ce que je comprenne pourquoi je n’étais que rarement satisfaite de ce qui s’y trouvait, indépendamment du jugement que je peux porter sur l’auteur, son autorité en la matière, sa notoriété ou la taille de sa bibliographie (la taille compte-t-elle réellement?).

En fait, dans ce domaine peut-être encore davantage, l’expérimentation doit être la base de toute démarche sincère. Vivre l’énergie de ces huiles essentielles plutôt que de lire le ressenti de quelqu’un d’autre. Ce faisant, on apprend à faire confiance à ce que l’on perçoit et ressens. Ce que l’on vit est vérité. Le message que l’on reçoit est vérité. L’enseignant EST l’huile essentielle et la plante elle-même.

Alors, peut-être un peu hésitant au départ, excité par les premières expériences en conscience modifiée (ou méditation, ou transe, choisissez le terme qui vous convient), vous rechercherez dans les ouvrages une validation de ce que vous avez reçu. Je crois que c’est normal et qu’on passe tous par là. En tout cas, ça a été ma démarche: oh mon Dieu! Vite une preuve! C’est trop beau, trop extraordinaire, je ne peux que me tromper (ahah grosse grosse confiance en moi, hein)!

Seulement, tout admiratif que l’on est des auteurs plus ou moins reconnus et de leur autorité en la matière, feinte ou réelle (sérieusement: « l’orange douce est agréable donc elle détend », c’est un peu léger comme appréciation experte de l’effet énergétique d’une huile essentielle), nous sommes prêts à renoncer au merveilleux cadeau que nous avons reçu lors de la pratique si il arrive qu’il ne trouve pas d’écho dans la littérature que l’on a sous les yeux à un moment T. Je dis à un moment T, parce qu’en vérité, il existe pléthore d’ouvrages peu connus et bien plus passionnants que les bestsellers en la matière. Et surtout, écrits avec le coeur, l’intuition, le génie et non le mental comme le sont les ouvrages mainstream. Et c’est donc surtout ces ouvrages que j’ai envie de vous présenter, même si je ne partage pas 100% de ce qui y est écrit, on sent une vulnérabilité et une envie sincère de transmettre ce qui a été vécu par l’auteur, et ça j’aime! Quand le coeur y est, tout y est!

Deux courants d’aromathérapie énergétique

Parce que la vérité? Beaucoup d’ouvrages de ce genre sont écrits par des personnes qui selon toute vraisemblance n’ont jamais fait le job: se taire et « écouter » les huiles essentielles. Il s’agit de renifler ici avec bien plus que le mental discriminant et l’analyse précise des composés aromatiques. En fait il s’agit même de l’inverse de ça. J’ose le dire tel que je le ressens a posteriori: il y a beaucoup d’impostures! Encore plus de tromperies dans ce domaine que celui de l’aromathérapie scientifique. Ou plutôt, j’exagère, il y a deux mouvements dont l’un a mon avis ne peut pas être associé à de l’aromathérapie énergétique telle que je la conçois même si il a toute son importance et son utilité. Mais les amalgames nous leurrent et c’est un vrai problème:

  • Le premier courant est dérivé de l’aromathérapie classique et s’applique à disséquer les odeurs et à leur attribuer des effets émotionnels qui vont être qualifiés d’ « énergétiques » (l’odeur de l’orange est dynamisante… ouais!!). On va se concentrer sur des effets physiques de ces propriétés, sur les hormones du stress notamment, donc des choses mesurables d’une certaine manière. Certaines branches de cette approche s’attachent davantage aux émotions qui peuvent être adressées par les huiles essentielles, mais en restant dans une approche « lourde », j’entends par là physique, matérielle: une HE va avoir telle et telle propriété, il y a même des correspondances sous forme de tableau, on a organisé tout ça et ça fonctionne (c’est d’ailleurs cette approche que je propose dans le programme Aromastress pour améliorer sa gestion du stress et vivre une vie plus sereine)
  • L’autre courant a davantage à voir avec des disciplines « ésotériques », le chamanisme ou la médiumnité. C’est peut-être pour ça d’ailleurs qu’en France on trouve moins d’infos ou qu’il y a eu moins de développement que pour l’aromathérapie scientifique qui correspond si bien à notre histoire et à l’héritage parfois lourd que nous portons tous de Descartes! Pour cette approche, il s’agit de se connecter à l’essence des plantes et de communiquer avec elles dans le but de recevoir leurs messages et enseignements, le plus souvent à but thérapeutique, de guérison sur le plan émotionnel et ou spirituel. Pour certaines branches, c’est uniquement une guérison spirituelle, des blessures de l’âme, du karma, qui peuvent éventuellement s’avérer favorables au corps physique. C’est une approche « éthérée », sensible, impalpable. Et pourtant, c’est bien cet aspect qui à mon sens présente un intérêt en offrant une approche centrée sur l’humain et sa perception individuelle, sans chercher à systématiser, classer, enfermer et ouvre des champs inaccessibles à l’aromathérapie « classique », « mainstream » qui reste sur les plans physiques et émotionnels, sans s’intéresser à tout un pan de notre être, sa dimension spirituelle est es corps subtils dont l’existence est pourtant quasiment partout reconnu ailleurs dans le monde (ah cette attitude de petit village gaulois qui fait de la résistance… c’est très français, ça!)

A ma grande surprise, c’est cette deuxième approche, que je souhaite développer sur Plante Essentielle. Et c’est tout l’objet du nouveau programme Propylée, passage vers l’essence des plantes qui démarre le 28 juillet 2020. Je trouve son impact spectaculaire en terme de prise de conscience et de guérison émotionnelle, car l’effet est souvent immédiat. Il n’y a pas de demi-mesure, de travail sur plusieurs semaines ou mois et c’est aussi une approche que je qualifierais de troublante. Elle ne laisse pas indifférent tant elle fait appel à cette énergie de vie dont nous n’avons pas l’habitude de mesurer la dimension, ni même à quel point nous la partageons avec ce qui nous entoure, notre environnement naturel.

Pourtant, il est évident que c’est cette dernière approche qui est à même de nous libérer de traumas, indépendamment de tout travail sur les causes contrairement à ce que la psychologie occidentale a tenté de réaliser depuis Freud. Dès lors, en se connectant à l’essence de la plante, un processus de guérison s’opère en collaboration avec ce principe odorant, cette communication (eh oui, les plantes communiquent par les odeurs qu’elles émettent, elles draguent les insectes et chassent les antilopes, mais ça c’est une autre histoire). Plusieurs plantes peuvent être nécessaires à un travail et il s’agit ici d’élaborer une partition unique de notes olfactives et non pas un mélange ou synergie. Chaque huile essentielle est utilisée de manière individuelle et se suffit à elle-même. Tout est déjà parfait dans son message et la manière dont il va être reçu.

J’ai toujours pensé qu’en transmettant le savoir des plantes, leur utilisation médicinale, je contribuerai à renouer le lien qui nous unit à la nature, condition sine qua non d’une prise de conscience écologique saine. Ici, ce lien se crée à un autre niveau de conscience que le seul plan physique, qui me laisse espérer un impact puissant au niveau de la conscience collective et de notre capacité à changer le cours des choses en guérissant nos maux spirituels, émotionnels (et bien sûr physiques, car ça ne remet pas en cause l’efficacité thérapeutique redoutable des huiles essentielles).

Je sais que je n’embarquerai pas tout le monde sur ce plan là et j’ai beaucoup hésité, mes élèves le savent, il y a eu quelques faux départ avec le lancement de ce programme « Propylée, passage vers l’essence des plantes ». Mais c’est un message trop important pour que je refuse de le porter et de partager la modeste expérience que j’en ai, de manière à ouvrir la voie pour les personnes qui devinent l’existence de tout ça, sans en oser pousser la porte seuls, ou sans savoir par où et comment commencer cette exploration.

Il devient urgent pour moi de dire ma vérité sur le sujet et de permettre au plus grand nombre d’y trouver un écho à leur propre vécu et de s’autoriser à pénétrer pleinement dans ce domaine si important pour la guérison de notre planète.

Mes ouvrages coup de coeur en aromathérapie vibratoire, subtile, énergétique

parfums-sacres-gilles-gras

Mais cessons de parler de Propylée pour quelques instants, voici la liste de mes ouvrages « coup de coeur » dans le domaine. Pour ceux qui n’y figureraient pas, soit je ne les ai pas lus, soit ils ne m’ont pas plu! Mais le sujet étant tellement personnel, je ne me permettrai aucune critique :

Jutta Lenze, Huiles essentielles féminines pour ses descriptions et voyages poétiques

Marc Ivo Bohning, Aromathérapie des Chakras pour sa caractérologie très amusante et… tellement vraie

Gilles gras, Parfums sacrés: aromathérapie énergétique et spirituelle pour sa tentative de classification et l’expérience avec la bougie

Deborah Eidson, Guérison vibratoire: éveil énergétique et guérison par les huiles essentielles pour les descriptions qui résonnent très fort avec mes propres perceptions, on le lit avec le coeur

Il en fallait en anglais, Joy Gardner, Vibrational healing through the chakras et Valerie Ann Worwood, The Fragrant mind

Et bien sûr Lydia Bosson, Aromathérapie énergétique guérir avec l’âme des plantes qui ouvre la voie avec un ouvrage « entre deux mondes », c’est le trait d’union qu’il aurait fallu inventer entre l’émotionnel et l’énergétique

Le plus récent, Le grand livre des huiles essentielles de Agnès Addey (le détail du contenu dans cet article-ci)

Et j’ajouterai à cette liste un ouvrage plus généraliste, celui de Christian Escriva, Rencontrer les plantes qui invite à regarder, à regarder vrai, mais qui n’est malheureusement pas réédité pour le moment.

Distinguer le vrai du faux en aromathérapie énergétique?

Quand on débroussaille ce terrain, on se rend compte que c’est tellement facile de recopier ici et là et d’inventer des propriétés dites énergétiques qu’on ne peut actuellement prouver d’aucune manière… FAUX!

En fait, dans ce domaine, nous sommes tous pourvus d’un radar à bullshit hyper puissant: vous pouvez accéder à ces messages sans problèmes. Vous-mêmes. Croyez-moi, si j’ai pu y arriver toute encombrée d’un mental hypertrophié, un cerveau bourré de scepticisme et d’années de perfusion à l’approche cartésienne, c’est que c’est largement possible pour la grande majorité de la planète: je pars de TREEEES loin!

Ainsi, on peut douter de sa capacité à percevoir l’essence d’une huile essentielle, son message, son enseignement alors même que l’on vient de vivre une expérience forte en la matière. Tout ça parce qu’on aura un ouvrage stupide sous les yeux rédigé par un imposteur. Ou que l’on cherchera une réponse énergétique dans un ouvrage dédié à la thérapeutique physique. Alors que tout ce dont on a besoin pour « y croire », rendre ce rêve tangible et lui accorder toute la valeur qu’il a, c’est une petite voix qui nous dit « mais oui, c’est ça, exactement ça, tu y es, c’est réel, moi aussi j’ai vécu ça!». Et cette voix, on peut la trouver dans certains ouvrages qui présentent non pas les « propriétés énergétiques » des huiles essentielles, mais le message lui-même dans toute sa mystique, sa beauté, sa poésie. Un peu hermétique, le style laisse entrevoir une vérité qui résonne avec la notre. Dans le coeur. Pas dans la tête.

La jonction des deux est possible, ceci dit. A ma connaissance, le seul auteur qui a réalisé l’exploit d’un pont entre les approches modernes et sensibles, c’est Lydia Bosson. C’est pour moi le meilleur ouvrage, et de loin quand on débute dans ce domaine et qu’on veut garder un pied solidement ancré sur la terre ferme de la conscience ordinaire et du mental (ben oui, quoi, c’est pas parce qu’on est intéressé par l’énergétique qu’on est obligé de faire un grand saut dans le vide!).

Mais arrive un moment où on est prêt à larguer les amarres. On est prêt à voguer vers ces contrées inexplorées, à pousser plus loin tel un explorateur des temps modernes. Oui, mais l’explorateur moderne a besoin de son lonely planet. Pour pas se perdre, garder le cap. C’est pour cette raison que j’ai souhaité partager avec vous mes ouvrages chouchous de l’aromathérapie énergétique, qui pour moi répondent à ce besoin d’être rassuré, dans le sens où on peut y trouver en miroir à ce que l’on reçoit des huiles essentielles, des enseignements  en tout point similaires à ceux que notre intuition a découvert.

parfums-sacres-gilles-gras

Au-delà du côté rassurant, validant, réconfortant, je trouve que leur lecture APRES mes méditations olfactives, permet de poursuivre la discussion, d’ouvrir des perceptions supplémentaires et des pistes d’interprétation que je n’avais pas forcément considérées. Et je trouve merveilleux de reconnaître dans ces auteurs une universalité, une résonance, au moins dans une petite partie de leurs écrits.

A noter que je lis toujours la partie consacrée à une huile essentielle après avoir réalisé mon propre travail, ma propre expérience de manière à ne pas être influencée, troublée ou même bloquée par ce que je croirais « devoir » voir. On est dans une expérience de lâcher-prise, pas d’exercice de la volonté! Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de ne pas lire ces ouvrages AVANT d’avoir fait votre propre cheminement.

Le BON livre pour vous et pour vous accompagner sur ce chemin, c’est à mon sens celui où en lisant la description d’une huile essentielle qui vous est familière,  une impression d’évidence et de vérité se dégage. C’est l’ouvrage dans lequel vous ressentez comme un miroir de votre propre expérience. Ce ne sont pas les mêmes mots, les idées sont exprimées différemment de ce que vous auriez fait, mais c’est quasi identique sur le fond. Votre coeur vous dit: c’est vrai. Vous ressentez une profonde connexion avec ce que l’auteur dévoile de lui-même en réalité, et de son âme. Parce qu’on va pas se mentir, c’est très personnel tout ça.

Ce que cette année de pratique régulière m’a démontré une bonne fois pour toute, c’est que l’intuition est plus que l’imagination, c’est une co-création, qui s’effectue avec bien plus grand que soi. Ça m’a été démontré à maintes reprises quand j’ai constaté systématiquement l’universalité des messages qui sont délivrés. Eh oui, désolée, en vérité, il s’agit bien de redécouvrir la roue à chaque fois: ce que vous allez recevoir est en tout point semblable à ce que vos pairs ont eux aussi reçu en pratiquant. Par contre, la forme diffère. Le message est universel, mais son véhicule, les images, les réactions nous sont personnelles: tous reliés et tous différents, c’est ça qui est beau! Le message est donc toujours teinté par le messager, son ego, ses blessures, son vécu, sa religion, sa culture, son état émotionnel du moment…

Je sais que certaines personnes vont lire cet article, parce qu’elles sont tombées ici « par hasard » (comme si ça existait!), peut-être vous: VOUS. Vous n’avez peut-être jamais expérimenté cette forme de communication avec l’essence des plantes, pourtant, ça vous rend curieux. Il y a quelque chose d’excitant derrière cet article que vous n’arrivez pas vraiment à définir. Ou alors vous avez déjà ressenti des choses en utilisant vos huiles essentielles, mais vous avez mis ça sur le compte d’une émotion refoulée que l’huile essentielle titillait. Ou vous avez mis ces battements surprenants sur le compte d’une réaction physique (de l’hypertension?) sans penser aux chakras. Ou vous avez eu une image qui est apparue que vous avez pris pour une association d’idée avec l’odeur, une manifestation de l’inconscient ou un souvenir. Bref, vous avez rationalisé systématiquement. Et encore maintenant, une petite voix s’élève qui s’exprime ainsi « pfff… bêtises! ». Est-ce la voix du coeur ou de la tête? Simple question….

Pour vous, qui avez envie de voir s’il y a vraiment quelque chose derrière tout ça ou si ce ne sont que des élucubrations, je vous propose de lever avec moi un coin du voile, en étant accompagné. Dans les deux mois qui viennent, c’est ce que nous allons explorer avec tous les participants de Propylée, déjà très nombreux à s’être inscrits puisque ce sera vraisemblablement le plus grand accompagnement que j’aurais la chance de conduire depuis les débuts de Plante Essentielle!

propylee essence plantes

Renseignements et inscriptions à Propylée, passage vers l’essence des plantes (programme en ligne et en vidéo live): ples.ovh/propylee

    7 replies to "Les huiles essentielles et leur impact énergétique: choisir le BON livre"

    • Aurélie

      Bonjour Cécile !
      Je suis d’accord à 300% avec toi (je me permets le tutoiement ) effectivement la canalisation d’une plante est très subjective selon la sensibilité et l’histoire personnelle de chacun(e) d’entre nous … chaque ressenti est vrai ! J’ai découvert l’approche sensible et énergétique des HE avec Agnès Addey (qui habite sans le savoir à l’époque où je l’ai appelée la 1ère fois depuis mon bled paumé en Normandie) à 20 min de chez moi, alors que ma fille avait 2 mois , du coup j’ai pu entamer mon premier cycle de formation en aroma énergétique sereinement ) la méditation olfactive en groupe et à l’aveugle, m’a ouvert tout un nouvel angle (j’avais simplement fait les formations de D.Baudoux très scientifiques mais qui me convenaient en tant que pharmacienne qui n’exerce plus) ! Alors comme toi, je me suis cherchée à coller mes ressentis avec Agnès Addey (sa transmission passe par les formations et son livre officiel est bientôt à paraître!! ), Jutta Lenze, Lydia Bosson …. j’ai connu comme des EURÊKA quand ma perception coïncidait à un bouquin puis j’ai eu un declic au cours d’une formation olfactothérapie avec Gilles Fournil « chaque canalisation de la plante est personnelle et vraie  » selon le vécu et la sensibilité de chacun(e) !!! Et là merci !!! Plus ce labeur à se coller au mieux aux ressentis des autres « experts dans le domaine  » …. ceci dit, je continue ma 3ème année avec Agnès Addey qui se dérouleen Corse pour etudier les plantes de la résilience (son site : au coeur des Essentielles) car ses transmissions sont un trésor infini tant c,’est ine belle âme et je continur mon cursus olfacto avec Gilles Fournil czr ses transmissions sont transscendantes …
      Bon, désolée de ce lon blabla, mais ton programme propylée m’intéresse fortement
      Dans la joie et le plaisir d’échanger avec toi, Cécile
      Amitié olfactive et énergétique !..

    • Pascale

      J’ai commencé un cursus en arômatherapie énergétique et sensible avec Agnès Addey.
      On découvre les HE en aveugle. On a ainsi aucune idée préconçue et c’est génial. On va à la rencontre de la plante.
      Tu parlais de livre et j’ai hâte qu elle publie elle aussi…
      En fait bcp de personnes partent comme toi et comme moi du côté scientifique puis arrivent à l approche sensible. Peut être que c’est justement d avoir utilisé les huiles qui peu à peu,sans qu on s en rende compte, nous ouvre à aller vers cette ouverture… L huile nous travaille…..

    • Helene V.

      Idem…
      Je viens d’un monde où l’intuition, l’écoute de soi, l’énergétique du corps et de l’esprit,etc. n’avaient pas leur place!
      J’ai déjà fait quelques formations et ateliers dans ce sens, ça m’a déjà beaucoup aidée, mais j’ai la nette impression de ne pas encore être arrivée là où je voudrais aller… Il y a encore un « manque »… Tiens tiens…. commencerais-je à entendre ma petite voix intérieure?
      L’aventure Propylée va-t-elle me conduire à la porte de ma recherche de moi?

      • Aromasur Murielle Bebrone

        coucou Hélène, il y aura plusieurs portes à mon avis et je fais ce voyage avec comme beaucoup d’autres chemins que nous avons suivi ensemble.

    • Clo

      Bonjour,
      J’ai le livre de Lydia Bosson ; je ne l’utilise pas. Certaines huiles essentielles sont introuvables (Basilic saint, par exemple : je n’en avais jamais entendu parler avant – et j’ai pas mal de livres sur les huiles essentielles). Dans les formules, le nom latin n’apparaît pas et c’est pourtant grâce à lui qu’on va savoir, par exemple, de quel chémotype il s’agit… Je trouve cela fort dommage!
      Bien sûr j’aimerais approfondir les quelques connaissance que j’ai déjà – mais l’aspect financier me fait reculer. La plupart des livres que j’ai (sauf un ou deux, peut-être), je les ai achetés d’occasion… Cela dit, l’approche « ésotérique » m’attire : très axée sur le yoga depuis 30 ans, la méditation et plus récemment le Qi Gong, ce sont des démarches qui me paraissent tout à fait enrichissantes et que l’utilisation « éclairée » des huiles essentielles peut encore bonifier!

      • Aromasur Murielle Bebrone

        Basilic saint ou Basilic sacré, Tulsi. Ocimum basilicum sanctum. Ce n’est pas une HE rare. Je ne sais pas si on parle du m^me livre mais les noms sont en latin et dans les formules le chémotype est indiqué. Bonne journée Murielle

    • Philippe T

      Je vais partir de très loin également… Si j’écoute de plus en plus mes intuitions, tout comme toi, Descartes est sur mon épaule…

Leave a Reply

Your email address will not be published.