J’ai vu passer cette proposition sur le fil facebook de chemin de la nature et j’ai trouvé cette idée géniale. Qu’aimerait-on laisser comme message pour qu’il soit lu par les humains du futur, les futurs nous…

Dans ma tête, j’imaginais déjà des messages joyeux, des messages de soutien, des messages qui chantent le bonheur et transmettent un peu de sagesse de vie, comme un fil de solidarité tendu au travers du pull douillet de l’Histoire de l’humanité. C’était sans compter les ravages que l’écologie moralisatrice a fait ces dernières années.

C’est au final cette écologie de bac à sable qui finira par tuer la planète en tuant notre humanité. Niccolino a tenté de dénoncer cette mascarade dans « Qui a tué l’écologie ? ». Mais l’écho à cet essai a été relativement faible. Pour ma part, il m’a confirmé dans mon choix de continuer ma route à l’écart de ces grands courants de pensées. Non pas que je ne veuille pas sauver la planète, mais ça fait déjà quelques années que je suis convaincue que la voie empruntée n’est certainement pas celle de notre salut.

« ne pardonnez jamais ce qui c’est produit, honte a ce système économique et a tous ceux qui le cautionne! »

« Je suis désolée, j’essaye de rattraper les erreurs de mes congénères… Mère Nature a la solution à tout, sauvons là»

« Il n’y aura pas de génération futur!!!»

« Prenez soin de la Nature… et pas comme les inconscients , Égoïstes et profiteurs du 21 eme siècle »

« Pardon……j ai essayé de faire ce que je pouvais pour que vous puissiez profiter de la nature des animaux mais la cruautée des hommes à été plus forte…»

« Désolée, on a essayé d’arranger les choses, mais il y avait trop de cons aveuglés par le profit»

On en est là ? Considérer que ce sera aux générations futures de rattraper ? Des excuses, des accusations, des responsabilités reportées sur les autres? On crée ce qu’on est capable d’imaginer. Si c’est de la désolation, c’est tout ce qu’on aura et c’est nier le travail remarquable de millions de gens sur cette planète.

Les messages laissés sous ce post facebook sont une longue litanie de négatif, d’excuses, de violence, de découragement… est-ce bien cela que l’on veut léguer ? Lorsque tous ces gens laissent ces messages de haine pour les générations futures, ils expriment leurs frustrations et leur dégoût du système, d’accord. Mais ils la transmettent aux générations futures. Comme dans le film The hate you give (THUG), sur la haine qui se transmet d’une génération à l’autre comme un héritage. Ici le contexte est différent, mais le processus est exactement le même.

Est-ce ce type d’écologie que l’on souhaite ? J’ai encore été invitée dans un groupe facebook pour sauver la planète. Pareil, que des messages haineux, des infos négatives, de la colère mais peu d’actions et encore moins de valorisation des actions positives. Aujourd’hui, nous nous devons de sortir de ça. La phase de prise de conscience est passée. Le choc, ok, le déni ok, mais la colère a assez duré. Il est temps d’assumer la tristesse ressentie et de passer la période de dépression à l’issue de laquelle une nouvelle énergie permettra une construction belle et saine de notre avenir. Ce n’est pas trop tard. Ca ne le sera jamais. Tous les entrepreneurs le savent, le moment idéal n’existe pas. Le meilleur moment pour se lancer, devinez quoi? C’est maintenant!

Ce que l’on vit au niveau individuel dans les phases du deuil, nous le vivons en tant que communauté, que citoyen du monde. Microcosme, macrocosme. Rien n’est différent d’une échelle à l’autre, les mêmes mécanismes sont en branle, les mêmes boucles de rétroaction et de régulation.

Mon message aux générations futures

Voilà pour ma part le message que je souhaiterai passer. C’est un message qui s’avance un peu dans le temps, mais j’espère que je pourrais écrire ça à la fin de ma vie:

Je suis d’une génération qui n’a pas connu la guerre. Ce progrès majeur, j’espère que vous générations futures saurez le poursuivre et étendre la paix au-delà des frontières, à une échelle planétaire. Mais les attaques et la violence ont pris d’autres formes et c’est bien l’avidité de nos sociétés à posséder qui a endommagé des vies et des pays tout entier. La peur de l’autre, de ce qu’il va nous prendre, de sa différence, l’incompréhension, le besoin de dominer nous a fait rejeter des milliers de migrants, tuer les courageux qui traversaient en bateau et ériger des murailles toujours plus hautes. De ça, il n’y a pas de quoi être fiers, mais des voix se sont élevées au milieu de la cohue. Des voix qui ont fini par être entendues et être de plus en plus nombreuses.

Nous avons couru après le progrès. Et nous lui avons donné le nom de « greentech » ou d’énergie verte ou encore de « écoproduit » pour continuer à consommer en toute bonne conscience. Heureusement, nous avons réalisé que ce n’était pas la solution à tous nos maux. Et un mouvement a émergé pour une consommation plus responsable. On l’a appelé comme ça, pour pouvoir avancer caché, car la décroissance que vous connaissez certainement aujourd’hui a débuté comme ça. Avant d’être un indicateur pertinent pour mesurer l’évolution de la société, c’était un facteur de peur pour les humains de notre époque. Mais nous avons mis en place des filières locales, pour redonner du sens et des échanges humainement riches. Nous avons, sous couvert d’aider les plus démunis et de créer des emplois, mis en place des recycleries et des ateliers de réparation pour lutter contre l’obsolescence programmée. Les mentalités ont évolué à une vitesse stupéfiante.

Tout ça s’est fait très vite, en quelques dizaines d’années. Il y a eu des ratés, des culs-de-sac, forcément, mais on n’a gardé que ce qui a fonctionné. Le plus difficile a été d’arrêter la colère de ceux qui se sont rendus compte que le monde pourrait bien s’écrouler. Ceux là avaient les yeux fixés sur les courbes du GIEC et les tonnages de déchets dans les océans. Ils étaient figés dans une sorte de catatonie et répétaient comme le prêche fantomatique sur sa caisse de bois faisant teinter sa cloche « la fin du monde est proche ». Bon, ceux-là ne servaient plus à grand chose, alors, on les a confiné dans des groupes facebook pour « sauver la planète » et on les a laissé se retourner le cerveau pour comprendre pourquoi on en était arrivé là et qui était le plus responsable pendant que nous autres étions en train de passer à l’action.

Bien sûr, certains, toujours les mêmes qui étaient à l’origine de la crise de 2008, ont vu là une opportunité et se sont mis à spéculer sur le vivant et à créer des crédits carbone pour s’enrichir pendant que tout foutait le camp. Cependant, à force d’initiatives positives, à force de douceur et de pédagogie, eux aussi se sont rendus à l’évidence. Et le monde que nous étions en train de perdre allait donner naissance à une société bien différente, celle que toi humain du futur tu connais actuellement. Ne nous juge pas sur nos idées antiques, nos comportements archaïques et notre élévation spirituelle balbutiante. Car tout ce que tu as aujourd’hui est le fruit de la graine que nous avons choisi de planter, du tout premier travail collaboratif à l’échelle de la planète entière. Une véritable prouesse dans l’histoire de l’humanité. Ca a commencé de manière très désordonnée, un peu comme une colonie de fourmis qui chercherait à se regrouper, à s’organiser, mais serait un peu déboussolée suite à un effondrement de sa fourmilière.

Des personnes ici et là, dans des domaines très divers ont décidé de consacrer leur vie, leur énergie, tous leurs biens pour modifier la trajectoire de notre vaisseau fou. Evidemment, sauver la planète pour un médecin, un chercheur, un informaticien, un agriculteur ou un boulanger, ça ne prend pas tout à fait le même chemin. Ces initiatives se sont multipliées. Ca paraissait tellement incohérent qu’on les a découragés : vous n’allez même pas tous dans le même sens ! Peu importe, des médecins ont commencé à moins prescrire de molécules chimiques et à améliorer la santé. Des chercheurs ont découvert des parties inexplorées de notre cerveau et permis aux pratiques spirituelles de se développer. Des informaticiens, qui ont commencé à créer pleins d’applications, permettant de nous relier. Des agriculteurs se sont rebellés et ont refusé d’épuiser les champs et la fertilité du sol. Des boulangers ont repris la main sur leur métier et refusé de devenir des distributeurs de baguettes congelées. Comment ces quelques actions ont pu tout changer ? Ces petits riens se sont raccrochés, tous ensemble à ce conte du colibri, popularisé notamment par Pierre Rabhi. Et ils ont continué, toujours plus nombreux, à quitter leur jobs et leurs entreprises polluantes pour mener une vie riche de sens, réaliser leurs rêves, et contribuer un maximum à une société fictive, qui n’existait pas encore. En faisant leur part, même s’il n’en voyaient pas le résultat. La foi qu’ils contribuaient à quelque chose de meilleur a porté les croyants. Pour les autres, c’était un appel du cœur plus fort que tout. Dans les deux cas, c’était un saut dans le vide : ils se sont lancés et ont cru en leur potentiel. Une décision motivée par un je ne sais quoi qui a fini par gagner une grande majorité des êtres humains de l’époque.

Et puis un jour, toute cette mosaïque a pris sens. Je crois que nous avions atteint un chiffre suffisant. Un engagement suffisant. Les gens avaient cessé d’être en colère et la plupart s’étaient mis à la tache depuis plusieurs années. Ils avaient arrêté de déverser leur frustration et leur tristesse de voir la planète se décomposer sous nos pieds. A la place, portés par l’énergie des pionniers, ils se sont mis à espérer, à croire, à rêver et à matérialiser toujours plus d’actions positives. Personne n’était parfait et vu de votre époque, forcément tout cela paraît tellement basique, mais il faut se remettre dans le contexte : les voitures individuelles à essence, le chauffage au fioul, l’urbanisation galopante, les forêts primaires exploitées, les jardins ornementaux sans fruits et légumes, l’eau des WC était même de l’eau potable ! Eh oui, ça paraît dingue, mais c’était notre normalité. Et dans un immense effort collectif, nous avons été la génération qui a tout remis à plat et qui a rêvé votre monde d’aujourd’hui.

Ca n’a pas été facile, il y a eu des découragements, des « a quoi bon », des tyrans qui ont essayé de profiter de la situation, mais il était impossible de nous arrêter car cette intelligence collective, digne des plus grandes forces de la nature, nous habitait chacun dans notre cœur : aucun lieu physique qui aurait pu être démantelé, supprimé, ou rasé.

C’est la première fois que l’humanité a décidé, dans un immense égrégore de changer sa destinée, en conscience.

Le message que je veux faire passer aux générations futures, c’est de bien croire qu’il y aura d’autres difficultés à surmonter, d’autres évolutions à traverser. Mais ce leg est précieux, son enseignement et sa sagesse doit être conservé pour que le cœur des hommes ne s’assèchent plus jamais.

Votre message?

Chers lecteurs, je vous invite à réfléchir vous aussi au message que vous aimeriez laisser. J’aurais plaisir à vous lire en commentaire, ou si vous avez un blog et souhaitez vous livrer à cet exercice, n’hésitez pas à partager le lien, je relayerai avec plaisir. Pensez à ce qui pourrait arriver de bien, des réalisations dont on pourrait être fiers, des perles de sagesse… car ce qu’on imagine, ce qu’on rêve, ce qu’on verbalise on le crée. Surveillons donc notre parole comme l’enseignent les Accords Toltèques lorsque nous évoquons l’avenir de notre belle planète !

    19 replies to "Message aux générations futures"

    • Jean Claude

      Je suis sceptique mais j’apprends à écouter…..

    • Jackie

      Lettre à mon petit fils

      Bien sûr y-avait urgence …
      Pendant des décennies, des mouvements sociaux ont voulu faire entrer de force dans la tête des gens le besoin d’agir dans l’immédiat… ils ont passé pour des illuminés fanatiques criant au feu pour rien.
      Quelle perte de temps, hé oui, on sait bien que l’humain est ainsi fait, il s’ouvre à la douceur, à l’amour, à l’altruisme, là son coeur et son esprit s’élève, c’est de cette façon qu’il est touché. Y-a pas mystère. L’agressivité ne fait que l’endurcir.

      Et voilà durant ce temps les conditions environnementales se sont dégradés et le coeur de bien des gens était devenu sourd aux alarmes… ceci à duré un temps.
      Malheureusement ce jour devait arriver, celui où chacun a été confronté dans sa vie quotidienne. À partir de là on a commencé à voir des actions positives, constructives, On a vraiment réalisé que l’individualisme était la pierre d’achoppement de l’équilibre naturel de notre planète mais aussi de l’intégrité de notre humanité, tant physique que psychique.
      Les valeurs qu’on croyaient fondamentales, comme la possession de biens c’ est largement dépassée maintenant.
      Un petit exemple : L’Idée  » à chacun sa voiture »… ce n’est plus pensable aujourd’hui, heureusement Gino Camaro est mort y-a bien longtemps. Et d’avoir une maison comme un château pour y vivre seul ou au mieux à deux, c’est une histoire de conte de fée. À oui, aussi l’idée de jeter tout ce qui ne nous sert plus, c’est révolue cette façon d’agir. C’est devenu impensable.

      Et parlons de L’orgueil, l’orgueil scientifique en particulier, il a perdu sa raison d’être , ce n’est plus le prestige qui compte mais le bien de l’humanité, la communauté scientifique n’a plus de frontière, ce qui importe ce sont les conditions de vie dans lesquelles les générations futures vont vivre.

      Pour arriver à cela. à la base on a du modifier les systèmes d’éducations scolaire avec la et le soutiens du noyau familial …ce qui a été un tour de force, ce n’est pas évident de changer les mentalités. Réunions de professionnels, citoyens et parents d’ élèves ,après réunions, brainstorming après brainstorming, ainsi avec de la persévérance un concept à été créé.
      Pour beaucoup on aime savoir le pourquoi, le quand , et le comment. Ce n’est pas la majorité qui s’est sentie concernée, mais cela a été suffisant pour insuffler à beaucoup le goût du changement et l’ambition de réussir ce projet d’éducation.

      Graduellement les changements on fait que l’éducation ne s’est plus orienté uniquement vers la formation d’ exploitants cherchant des bénéfices à tout prix , le fric le fric…. pour  »contribuer » à l’économie du pays et en faire de bons travailleurs.
      Cette forme archaïque d’éducation est dépassée aujourd’hui.
      Nous pouvons maintenant parler d’une forme d’éducation responsable, que ce soit concernant la question de consommation, de production, de santé, de vie sociale et sans oublier de la mise en valeur des qualités et aptitudes de chacun.

      Aujourd’hui longtemps après que les enfants aient éduqué les parents, je blague un peu ( mais oui c’était une réalité ) après cette période de bouleversements, nous sommes devenu une société en meilleure santé , physique , mentale, on peut aussi parler d’une nouvelle philosophie, nous avons retrouvé notre humanité profonde.
      Enfin !!
      Soit heureux , respecte et prend soins de ta demeure la terre, n’oublie pas , la VIE est précieuse !!!
      Je t’aime

      • Cécile MAHE

        Ta lettre m’a donnée des frissons… merci Jackie pour ce magnifique message adressé à ton petit-fils et dont on profite tous. C’est une vision magique

    • lise

      Merci pour tout
      Lise

    • EDWIGE MEIFFREN

      Merci pour ce beau message.
      Comme toi je pense qu’on a tendance à ne pas parler de tous les efforts entrepris par plein de personnes dans le monde entier par amour pour notre terre, pour notre humanité et pour les générations futures. Chaque action entreprise individuellement est accueillie par la terre et l’univers comme amplifiée, car effectuée par amour, sans peur et avec foi ! Nous sommes des millions à faire de plus en plus de petits gestes anonymes au quotidien afin que brique après brique nous reconstruisions un monde mieux pensé, mieux respectueux et harmonieux. Comme toi, je suis surprise de lire les commentaires agressifs, les accusations, les jugements…sous certains articles concernant la protection de notre planète. Au contraire nous devons faire preuve de clairvoyance, de bienveillance et de patience. Nous sommes peut-être responsables de la dégradation de notre planète en raison de la vitesse avec laquelle tout s’est enchainé, mais il se crée une force incroyable en ce moment qui va inverser le cours des choses. J’y crois et je suis sure que « ti pa, ti pa, nou va rivé ».
      Edwige

    • chapuis

      La surpopulation est la raison première, s’en suit le mode de vie, indéniablement a revoir.
      L’homme a fait ce qu’il fallait pour que nous soyons aujourd’hui dans un monde fini, bien que certain d’entre nous se soit émanciper de ce modèle absurde et destructeur qu’est cette compétition omniprésente nous menant vers la fin du vivant.
      Le réel a eu lieu, ici nous produisons notre énergie, cultivons et vivons de manière quasi autarcique, bien loin ce ces notions de paraître.
      L’infini pauvreté se trouve dans le monde des nantis, totalement déconnecté de la réalité et faisant payer le prix fort a Gaia notre mère a tous.
      La prise de conscience n’est pas donné a tous, il suffit de voir…

    • claudine malherbe

      nous ne sommes que passage sur cette terre et pour profiter pleinement de tout ce qu’elle nous offre prenez en soin ,
      aimez vous pour pouvoir donner de l’amour
      prenez conscience que chaque vie :hommes ,faunes et flores à le droit au respect
      Qu’il n’est pas nécessaire de tout avoir pour bien vivre ,

    • Michel

      Comme nous pouvons le constater, nous sommes devant un changement à vivre, une bascule de conscience, pour que le Vivant…le reste.
      Peut-être le temps est-il venu de renouer avec « Gaïa », nom grec de la déesse de la Terre.
      Renouer avec Gaïa signifie (pour moi) replanter nos racines dans cette Terre.
      Comment rester stable sans racines au milieu des milliers idées et des tempêtes émotionnelles qui nous chahutent quotidiennement ?
      Replanter nos racines signifie descendre du mental, qui, par hypertrophie a asséché le coeur, vers le Fondamental. Il est question de VIE.
      Retrouver la Vie et le Féminin qui la met au monde … en soi. Rétablir la parité en soi, c’est harmoniser nos deux hémisphères pour que le cerveau droit créatif, imaginatif, symbolique, réenchante notre monde intérieur…et par contagion le monde extérieur.
      Car où est la barrière entre les deux, sinon dans des conditionnements (plus ou moins conscients) que nous laissons oeuvrer dans nos vies.
      Tout changement est avant tout une prise de conscience individuelle, puis collective qui pourra alors se manifester concrètement.
      Il devient nécessaire d’être rebelle, d’être un guerrier pacifique pour revisiter les vieux postulats de la science érigés en dogmes intouchables, sur les lois de la nature, sur la matière, ou sur la conscience et ses états modifiés.
      Nous sommes tous co-responsables de ce qui se passe dans ce monde, car nous appartenons à un « tout » comparable à un « organisme » interconnecté.
      Voulons nous que la Terre guérisse ?
      Cela revient à dire, est-ce que je m’engage à guérir, à pacifier mon mental, à apaiser mes émotions, à accepter que mon petit égo se soumette au Moi, à l’Etre qui vit en nous… qui ne pleure pas quand je pleure, qui ne rit pas quand je ris, qui ne rougit pas quand je commets une erreur mais qui voit au-delà de toutes les apparences ce qui fait Sens.

    • Néa

      Message à nos  »nous » de demain,

      Soyez vigilants et éveillés, ne laissez personne vous raconter d’histoires, soyez solidaires les uns avec les autres, ce que vous êtes au plus profond de vous, l’autre l’est également au plus profond de lui.
      Ne vous laissez pas diviser.
      Respecter le vivant sous toutes ses formes.
      Vous êtes la vie.

    • M AINGER MARYSE

      Merci pour tout ce que la nature nous donne et nous donnera encore si nous la préservons. Il n’est pas besoin d’être agriculteur ou autre pour préserver ce » bien précieux. La nature nous a tant donné et nous donne encore. Ce sont de petits gestes au quotidien qui nous permettront de léguer un bien précieux aux générations futures.
      Encore Merci Cécile pour tous ces bons conseils que tu nous donnes.

    • OB

      J’adore ton message tellement positif ! Merci Cécile !

    • Michel BARBET

      Merci Cécile pour ton article. Je suis d’accord avec toi sur les constats que tu fais. Je vais prendre le temps de rédiger un commentaire fidèle à ce que je ressens. A très vite..

    • Nibel

      Je ne dirais rien ou ceci quelle chance vous avez ils vous restent tout à découvrir c’est merveilleux

    • Presles

      Tous les jours penser à Dame nature en ramassant un escargot un lombric qui est sur le goudron et le déposer dans l herbe, en séchant son linge au vent, en prenant ses jambes ou son vélo pour faire les petites courses du quotidien, en désherbant son jardin à la main, en faisant le moins de déchets possible, ou en triant ses poubelles : enfin bref un petit geste du matin au soir pour remercier la vie la Nature Merci Cécile pour vos diffusions sur les huiles essentielles

      • Cecile

        Les petits gestes d attention du quotidien mis bout à bout. Très vrai, merci Presles

    • Pagès

      Si je devais laisser un message aux générations futures je citerais Cristian Bobin qui a écrit :

      « Marcher dans la nature c’est comme se trouver dans une immense bibliothèque, où chaque livre ne contiendrait que des phrases essentielles «  et j’imagine que chacun de ces livres leur indiquerait ce qu’il y a de plus beau dans ce monde , car oui , nous sommes venus sur terre, ce n’est pas par hasard , alors oui, il faut en prendre soin!!

      • Cecile

        C est joliment dit! Tout ce qu on a à apprendre est dans la nature… Merci Pages

    • Yolande

      Bonjour Cécile, !
      Voici mon message , vraiment pas compliqué, . Juste partager ce qui a fait ma vie en espérant que mes enfants et petits enfants pourront toujours se promener au bord de la mer , en forêt ou faire poussez leurs nourriture et se soigné avec les Huiles Essentielles!! ( Malgré tous les hauts et les bas que vous traverserez , puissiez vous toujours pouvoir vous ressourcer auprès de la nature. )

      • Cecile

        La transmission, merci Yolande!

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