Tout créateur, tout entrepreneur, tout artiste fait face à la résistance. Et scoop, attention spoiler, nous sommes tous des créateurs dans nos domaines de prédilection! Nous sommes tous doués, nous avons tous un don particulier, une facilité naturelle, des aptitudes manuelles ou intellectuelles, donc probablement, cet article vous concerne d’une manière ou d’une autre. 

Pour en revenir à la résistance et au porteur de projet, plutôt que de faire face on dira plutôt que celle-ci le contourne sournoisement et le poignarde sauvagement dans le dos au moindre moment d’inattention. Oui, c’est plus exact comme ça: la résistance est vicieuse et offre peu de répit. C’est le monstre assoiffé de sang du pire film d’horreur que vous ayez vu dans votre vie (musique angoissante de film d’horreur tada tadaaa tadadada … aaaaaahhhhh).

Elle tue vos projets, vos rêves, votre joie de vivre, votre confiance en vous bref, toute la part magique de votre existence, elle s’en nourrit. S’il n’y avait qu’elle, on aurait plus qu’à faire du métro-boulot-dodo en attendant les vacances d’été et… attendez… c’est votre cas? Ohoh… vous vous sentez déprimé parfois? Un vague sentiment d’insatisfaction? Vous trouvez que votre patron est un c** et que si seulement vous aviez eu le choix vous auriez pu…

Désolée de vous l’annoncer comme ça, mais vous êtes victime de la résistance. Pas de panique, c’est pas tabou et on en viendra tous à bout (je vous donne même des exos à faire en fin d’article).

Pourquoi il est important de prendre conscience de la résistance, cet ennemi invisible

Mais pourquoi je vous parle de résistance sur ce site consacré à la formation en aromathérapie? Tout simplement parce que de nombreuses personnes se lancent en formation en ayant un projet, qui ressemble parfois plus à un rêve secret cadenassé dans un coffre fort lui-même dissimulé… bref, de créer une activité en lien avec les plantes, les huiles essentielles ou plus largement la nature. Et devinez quoi? C’est génial, car si c’est votre cas, si vous en rêvez, si vous vous sentez appelé, c’est que c’est très certainement prévu pour vous. Mieux même, si rien qu’à l’évocation de ce que pourrait être cette petite boutique bio ou ce salon de thé alternatif ou ce cabinet ou cette exploitation agricole … vous avez la gorge qui se serre, les yeux qui s’embuent, la petite boule au ventre et surtout l’abominable voix qui sévit avec des « c’est pas pour toi », « t’y arriveras pas », « ce ne sont que des rêves », « il faut de l’argent pour ça », « tu gagneras jamais ta vie » etc EH BIEN C’EST QUE C’EST EXACTEMENT LA QUE VOUS DEVRIEZ ALLER, car tous ces symptômes ce sont ceux de cette fameuse résistance, ce monstre protéiforme que je vais vous décrire plus en détail, de manière à ce que vous ayez une bonne idée de la bête qui se terre dans l’ombre, prête à vous sauter à la gorge dès que vous faites un pas vers la direction de vos aspirations, de votre âme, de votre muse, de votre génie, bref de la plus belle version de vous.

Mais avant de vous la décrire, je vais terminer sur le pourquoi de cette intervention musclée sur le plus grand fléau du siècle. Parce que c’est une perte inestimable toutes ces personnes qui ne partagent pas leur don unique. Vous savez quoi, je suis persuadée que la recherche n’a pas vraiment besoin de plus d’argent dans le fond (pas taper les chercheurs), elle a besoin de plus de personnes qui s’engagent avec passion et se dédient à leur vocation. Imaginez que la personne qui a le don de soigner le cancer des poumons se soit dit « non, mais moi les études scientifiques, je serai pas capable, je suis trop nul » (on a tous vu un film ou le concierge était en fait un surdoué des maths ou encore où la caissière du supermarché est en fait intarissable sur les vertus des plantes médicinales et… ah non attendez ça c’est la vraie vie)… Ben c’est ptet ce qu’il s’est passé voyez-vous. Et c’est ce qui se passe actuellement, partout dans le monde avec des millions de personnes qui font semblant de vivre une vie qui n’est pas la leur. Et tous ensemble, dans cette folie collective, on a réussi à faire en sorte que la terre ne tourne plus rond, en polluant les océans, en rendant la terre stérile et autres formidables réalisations qui ont vu le jour alors qu’on était à côté de nos pompes pour ainsi dire. A cause de la résistance. Mais aujourd’hui, le voile sera levé. Terminé le règne de la résistance.

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Reconnaître la résistance sous ses différentes formes

Par tous les moyens, la résistance nous empêche de nous élever vers des buts supérieurs, plus éthiques ou spirituels, de créer et de partager nos dons. Ne vous inquiétez pas, aucune résistance ne viendra vous empêcher, alors que vous travaillez avec Amma à faire la paix dans le monde, de choisir un emploi dans une banque offshore qui exploite sans vergogne les failles du système bancaire et floue les plus pauvres. Non dans ce sens là, les choses se dérouleront avec une facilité déconcertante! Mais dans l’autre sens, vous pourriez reconnaître les symptômes suivants, qui ont tous un seul et même objectif, vous faire renoncer:

L’auto-sabotage et la petite voix méchante

Oui, la petite voix déjà évoquée, qui vous susurre à l’oreille à quel point vous n’êtes pas à la hauteur? Résistance! On trouve notamment dans cette catégorie le syndrome de l’imposteur. Ce sont des cas graves d’infection à la résistance où les inquiétudes sur la légitimité et la peur de ne pas être assez (diplômé, compétent,..) ont complètement submergé le sujet.

Le perfectionnisme 

Oui, cette excuse de vouloir bien faire derrière laquelle vous vous cachez? Ce sérieux irréprochable dans lequel vous vous drapez pour expliquer l’allongement des deadlines? Résistance! Mieux vaut fait que parfait dit l’adage, alors imprimez-le, en grand, et collez-le sur votre porte d’entrée. Le perfectionnisme va en général de pair avec la procrastination qu’il sert à merveille.

La procrastination

Le « je ferai demain ». Pas besoin d’en dire plus, il y a toujours une bonne raison n’est-ce pas? On est un peu fatigué aujourd’hui, mais demain ça ira mieux.

Les excuses bidons

Ce qui nous amène aux excuses et à la rationnalisation de la résistance. A ce stade-là, vous avez décidé de faire copain-copain avec la bête, c’est le syndrôme de Stockholm, quoi vous êtes tombé amoureux de votre geôlier. Bien sûr que vous ne pouvez pas vous lancer puisque vous n’avez pas ces 178 453,42 euros sur votre compte en banque, c’est le bon sens même n’est-ce pas. Idem pour l’excuse de « j’ai des enfants » ou mieux « mon chien a mangé ma copie », c’est du même tonneau. Plus subtil nous avons le « j’ai besoin d’un diplôme de chépakoi » ou dans le milieu ésotérique « non verseau est en carré avec saturne sur le taureau, je ne peux pas ».

Les étapes

C’est une catégorie de rationnalisation qui mérite le détour, car… on l’apprend dès notre plus jeune âge à l’école. C’est dire si la résistance est un fait totalement intégré. Finalement, on grandit avec notre propre camisole, c’est fabuleux. On apprend que pour savoir faire une multiplication, on doit d’abord apprendre les chiffres, puis les additions, et ensuite seulement on peut savoir combien font quatre fois deux. Il faut d’abord avoir le bac, puis ensuite un BTS et éventuellement ensuite on pourra avoir tel job. Tout est fait d’étapes, même la cuisine. Parfois c’est justifié, parfois non. Mais on s’en invente, c’est un type de procrastination extrêmement sophistiqué. Ainsi, on s’imagine que pour ouvrir une boutique, il faut d’abord savoir faire de la compta, et qu’ensuite il faudra avant ça apprendre à recevoir de la clientèle, puis une formation aussi pour les relations fournisseurs sait-on jamais, voir un cursus en anglais des fois qu’il y en aurait un qui parle pas français… vous voyez le délire? Ajouter des étapes tant et si bien qu’à la fin aucune boutique ne fut ouverte (ça sonne comme une fable!). C’est juste de la peur. Il faut accepter qu’on ne sait pas tout et qu’à un moment donné, il faut s’élancer dans l’inconnu avec la certitude qu’on trouvera les solutions, sur le chemin, au fur et à mesure. Eliminez les étapes-bidons.

Les addictions et gratifications immédiates

Moitié auto-sabotage, moitié rationalisation (je suis si mal, je ne peux pas porter ce projet, malheureusement, je dois renoncer la mort dans l’âme… ahah vous êtes un sacré comédien, vous avez réussi à vous mentir à vous-même). Les antidépresseurs, l’alcool, le tabac, le sexe, la drogue, la TV et les réseaux sociaux: que des trucs qui sont là pour donner une satisfaction immédiate et vous enlever toute idée de gratification à long terme par l’achèvement d’une noble quête. Tant que vous êtes empêtrés dans tous ces plaisirs sans substance, c’en est fini de vos beaux rêves et projets. Je ne prône pas une vie ascétique… juste la prise de conscience que tiens bizarrement dès qu’un pic de motivation, une idée géniale survient, il y a une envie irrépressible de suivre ce dernier feuilleton sur TF1. Ca vous paraît pas bizarre, ça? Et cette habitude de scroller le fil instagram, « juste 30 secondes » alors que vous alliez vous mettre au travail? Pas bizarre ça? Résistance!

Les autres

C’est bien connu « c’est pas ma faute » mais celle des autres, du contexte, du système, de la société aussi. Oui, c’est plus facile de se regarder dans le miroir quand on peut imputer ses échecs à son conjoint qui a prévu un voyage à ce moment là alors que justement vous alliez démarcher votre premier client (c’est pas de chance dis-donc). Ou alors, c’est la faute de vos enfants qui vous prennent trop de temps, d’attention et d’énergie (comme si il n’y avait pas suffisamment d’exemples d’entrepreneurs et parents à la fois, souvent même parent solo). Ou alors c’est la faute de votre mère parce que quand vous étiez petit vous étiez mal-aimé et c’est pour ça que vous avez pas confiance en vous (pauvre chou, va). Si vous êtes en train de vous dire « Oui, mais moi c’est pas pareil parce que… (insérez votre excuse ) »: résistance. 

Ceci dit il y a une particularité avec les autres, qu’on pourrait nommer comme le théorème du panier de crabe. C’est prouvé, c’est un fait, personne n’a envie que vous vainquiez votre résistance. Ca représente un danger pour l’ego des gens qui vous entourent et leur propre combat (ou plutôt échec en l’occurence) avec leur résistance à eux. Donc la résistance les utilise pour vous mettre des bâtons dans les roues (pour de vrai, là c’est pas une excuse): menace de divorce, chantage affectif c’est moi ou ton entreprise, mais t’a changé t’es plus pareil… bref. La résistance s’est trouvé des alliés. Soyez forts! Je vous envoie des pensées positives: vous ne faites pourtant de tort à personne, bien au contraire en suivant votre propre bonhomme de chemin. 

Vaincre la résistance, la procrastination, les excuses et les peurs

J’ai une bonne nouvelle, je sais comment faire. J’ai une mauvaise nouvelle, il faut recommencer tous les jours et les échecs sont nombreux alors du nerf, on se relève et on lâche rien. Eh oui, sachez que la résistance ne vous lâchera pas les baskets… elle fait partie de vous. Oh my god! Horreur, l’ennemi était à l’intérieur depuis tout ce temps. C’est notre égo, cette part de nous conspuée par les addicts au développement personnel mais qui pourtant est là pour nous protéger, nous alerter des dangers, de ce qui pourrait nous malmener. Définitivement, l’égo n’en a rien à carrer de votre mission de vie et de vos aspirations (désolée pour le langage, mais c’est ainsi). Ce qu’il veut, c’est assurer votre survie malgré vos envolées lyriques sur l’expression de votre don et votre âme d’artiste. Finalement, il n’est pas si vilain, il a son rôle et il tient à faire le job: vous éloigner de tout ce qui ne vous fait pas plaisir immédiatement, d’une vie insécure où vous pourriez manquer d’argent (l’incertitude c’est définitivement pas son dada), du jugement blessant des autres et de leur regard qui pourrait vous blesser, d’un échec possible qui ferait du mal à vot’ ti coeur, … bref il vous couve comme une mère poule qui ne veut pas que vous quittiez le nid sous prétexte d’aller explorer ce monde extérieur si dangereux: et pourquoi faire? Vous êtes pas heureux, là dans votre petit nid? Vaincre la résistance, c’est sortir de sa zone de confort et conquérir de nouveaux territoires passionnants. Ca vaut le coup!!!!

La technique des 5 minutes

Quand vous n’arrivez pas à vous y mettre, négociez avec vous-même de ne faire que 5 minutes de la tache en question. Vous seriez surpris de savoir combien de fois j’ai travaillé plusieurs heures d’affilée, dans un état de flow et de bien-être absolu, portée par l’inspiration, alors que j’ai mis 3 heures avant de poser mes fesses pour juste faire 5 minutes. Euh… comme on en parle… c’est de cette façon que cet article a été écrit car après tout, qui suis-je pour parler de la résistance? Je me crois si parfaite? Alors là bravo avec tes airs de madame supérieure, tu vas leur apprendre la vie peut-être? Tu n’as pas des vrais trucs à faire, genre des trucs qui sont du travail? En plus ça n’intéresse personne c’est un blog d’aromathérapie ici, pas de psychanalyse à deux balles. Tu l’as vaincue toi la résistance? La preuve, tu as eu cette idée d’article en novembre et… laisse-moi rire, on est en février: lamentable… voilà voilà… très bien, parfait, je suis terrorisée, démoralisée, mais on y va quand même. 

Bon parfois aussi, ça veut pas, et il faut savoir respecter le contrat. On arrête au bout de 5 minutes. Même pour l’estime de soi, ça fait un bien fou, car on enregistre une mini-réussite plutôt qu’un échec complet. Et l’estime de soi reboostée, ça aide à faire mieux le lendemain (nan mais vous avez entendue cette voix? ).

Le coach

Je ne détaillerai pas, mais faire appel à un tiers n’a rien d’honteux. Vous connaissez vos limites, vous savez que vous avez besoin d’un garde-fou, voire d’un coup de pied au *** de temps en temps. Ca marche. Il y a vraiment des personnes qui ont un don pour déclencher le passage à l’action, la motivation, faire ressortir le meilleur de nous-mêmes.

A lire: A-t-on besoin d’un coach (professionnel du bien-être)?

Dans le même ordre d’idée, faire partie d’un groupe qui rencontre les mêmes challenges, type club d’entrepreneurs, c’est génial! De cette façon, on utilise le regard des autres de façon positive, pour rester motivés!

Transformer les excuses en solution

Il faut déjà avoir une bonne pratique de la résistance pour saisir les excuses au vol et les voir pour ce qu’elles sont. Je les note immédiatement dans mon carnet. C’est tout, je n’essaye pas sur le moment de les traiter, car à chaud, on les renforce en trouvant toutes les justifications et arguments qui viennent les légitimer. J’y reviens plus tard et je met en face des solutions ou j’argumente en quoi ce n’est pas fondé et je choisi de changer ma croyance sur le sujet. Consciemment.

Dépasser la peur

Très simple. Il suffit de dire ok, j’ai peur, mais j’y vais quand même. En fait, il n’y a pas d’autres tactiques, techniques ou procédés miracles alors répétez avec moi: « J’ai peur, mais j’y vais quand même ». Et quand on sait qu’une peur indique justement un champ qu’on devrait explorer, il n’y a pas à hésiter!

La foi

Les croyants sont avantagés. La foi soulève des montagnes comme on dit et c’est vrai. Si vous pouvez faire confiance au principe supérieur qui vous guide, à un Dieu, à la partie divine en vous, à votre Muse, votre Génie, votre Soi supérieur, eh bien faites-le. Vous n’êtes pas seul. Sautez le pas avec confiance. Comme Indiana Jones dans la dernière croisade.

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Le plus petit pas possible

Il ne s’agit pas d’étapes attention. Mais quand quelque chose fait peur, c’est une montagne à gravir. Et comme dans toute ascension, tout commence par un premier pas. Quelle est la plus petite action que vous pouvez mettre en place aujourd’hui, maintenant, à la seconde, qui aille dans la direction de votre projet. Ca peut être un mail à rédiger, ça peut être acheter un premier livre dans la thématique, ça peut être faire une recherche sur google. Un pas à la fois: quelle action inspirée vous vient à cet instant précis. Quand vous regardez par-dessus votre épaule ce que vous avez déjà réalisé… est-ce que ça n’a pas toujours commencé par un petit pas?

Ne pas chercher de « signes »

Oui là je vous présente la chose par la négative, car c’est encore une forme de la résistance. Les signes sont des excuses déguisées. Et patatras, la résistance vous a eu, ainsi que les coachs qui utilisent ça dans leur accompagnement, certainement avec la meilleure bonne foi du monde. Selon votre état d’esprit, vous allez interpréter positivement ou négativement des choses qui n’ont rien à voir avec votre projet. Si la résistance vous gangrène, les signes seront défavorables, tout simplement. Tout ce dont vous avez besoin se passe à l’intérieur et non à l’extérieur. Il faut vraiment arrêter de rechercher cette validation extérieure que ce soit chez les autres ou dans votre marc de café ou l’alignement des planètes. Dieu n’a pas besoin de vous envoyer un signe, il a la ligne directe pour vous contacter et le meilleur jour pour commencer c’est aujourd’hui. Le signes, vous les réaliserez après, comme disait Steve Jobs dans le Stanford commencement speech

You can only connect the dots afterwards

(Et il y a une raison à ça, vous n’avez pas accès au plan divin, sorry bud)

J’ai tellement regardé cette vidéo avant de créer Plante Essentielle!!!

Quelques exercices pour atteindre ses rêves

Ces exercices m’ont été donné par des coachs avec qui j’ai travaillé ou dans des livres que j’ai lu. Leurs points communs est qu’ils débloquent quelque chose à chaque fois que je les fait. Je vous les donne ici, ne croyez pas que ce ne sont que quelques mots, comme ça, ce sont de redoutables armes contre la résistance… à condition de les appliquer bien sûr…

Le sens des priorités: l’exercice de la mort imminente

Si demain on vous annonçait que vous n’aviez plus que 6 mois à vivre… seriez-vous en train de faire très exactement ce que vous êtes en train de faire au quotidien? Qu’est-ce qui changerait? Changez-le maintenant.

Si il y a une peur qui survient face à ces propositions de changement, l’exercice du pire peut vous aider: décrire ce qui peut arriver de plus catastrophique (vous allez finir sdf sous un pont ou je ne sais quoi). Vous avez bien le pire en tête? Quelle est la probabilité que ça se produise? Honnêtement? Alors est-ce que la balance bénéfice-risque vaut le coup?

Contacter sa muse: l’exercice hors du regard des autres

Si demain il ne restait plus que vous sur la planète, comment occuperiez-vous votre temps? Autre façon de le formuler: que faites-vous quand personne ne vous regarde, ne vous juge, quand vous n’êtes pas « en représentation »? Ne cherchez plus la validation à l’extérieur. Aimez-vous assez pour vous l’accorder cette validation: vous avez le droit, vous pouvez le faire, les critiques ne vous atteignent pas.

Eliminer les étapes bidons: l’exercice de la contraction du temps

Vous avez une tâche à faire et vous planifiez des étapes dans le temps, commencez à vous sentir submergé par l’ampleur de la tâche? Imaginez que vous n’ayez plus qu’une journée pour mener ce projet à bien. Comment vous y prendriez-vous? Qu’est-ce qui n’est plus nécessaire? Qu’est-ce que vous pouvez faire immédiatement? Comment obtenir le résultat en une journée? Faites-le!

Référence du livre qui m’a inspiré cet article et que j’ai trouvé absolument génial: The war of art (en anglais) de Steven Pressfield

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